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- Avant-match
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- Auteur(s)
- Par superdou
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Duel au sommet du classement à l’envers, avec le leader strasbourgeois qui reçoit son dauphin troyen à la Meinau. Une chose est sure, au moins l’un des deux clubs ne sera plus fanny après le match.
Pour pouvoir se maintenir en tête de ce classement, il est toujours judicieux de conserver une défense de faible qualité. C’était dans cette optique que le Racing, toujours prévoyant, a négocié le transfert de son capitaine Mitrovic après s’être débarrassé de Simakan, Koné et Carole plus tôt dans l’inter-saison.
Toutefois, à l’heure d’affronter un rival sérieux, qui n’est monté de Ligue 2 que pour pouvoir atteindre à nouveau le nirvana de finir sur le podium de ce classement à l’envers, il faut prendre ses précautions. C’est donc renforcé par la suspension de Djiku, et la blessure d’Aholou, que le Racing se présentera devant ses supporters ce dimanche, en espérant toutefois que Sissoko dit « les pieds carrés » et son compère le débutant Perrin ne sortent un match extraordinaire.
Si derrière et au milieu, où Bellegarde a été touché durant la semaine, mais est bien présent dans le groupe, le Racing semble bien en place pour conserver son leadership, il reste le problème de la partie offensive, ou le duo Ajorque – Gameiro, alimenté par Thomasson, reste un danger constant sur le résultat global de l’équipe.
Composition probable :
Côté troyen, la tactique pour prendre le leadership ne semble pas uniquement poser sur une défense moyenne, menée de main de maître par Salmier, mais aussi sur une bonne attaque des plus stériles (1 seul but inscrit), malgré la probable erreur dans cet objectif de recruter Ripart.
Surtout, le club mise également sur une entente cordiale entre son coach, Laurent Battles, et son conseiller technique, Erick Mombaerts pour atteindre l’objectif. L’entraîneur n’appréciant pas particulièrement son ancien coach à Toulouse, au point d’avoir demandé à quitter le navire cet été, sans succès.
Composition possible :
Dans une Meinau qui ne sera pas pleine, ce qui peut s’expliquer par la conjonction des vacances, du pass sanitaire obligatoire, de l’affiche merdique et des merguez pas cuites, la lutte devrait donc être intense ou soporifique, mais au final, l’objectif final restera toujours les Troyes points.
Toutefois, à l’heure d’affronter un rival sérieux, qui n’est monté de Ligue 2 que pour pouvoir atteindre à nouveau le nirvana de finir sur le podium de ce classement à l’envers, il faut prendre ses précautions. C’est donc renforcé par la suspension de Djiku, et la blessure d’Aholou, que le Racing se présentera devant ses supporters ce dimanche, en espérant toutefois que Sissoko dit « les pieds carrés » et son compère le débutant Perrin ne sortent un match extraordinaire.
Si derrière et au milieu, où Bellegarde a été touché durant la semaine, mais est bien présent dans le groupe, le Racing semble bien en place pour conserver son leadership, il reste le problème de la partie offensive, ou le duo Ajorque – Gameiro, alimenté par Thomasson, reste un danger constant sur le résultat global de l’équipe.
Composition probable :
Côté troyen, la tactique pour prendre le leadership ne semble pas uniquement poser sur une défense moyenne, menée de main de maître par Salmier, mais aussi sur une bonne attaque des plus stériles (1 seul but inscrit), malgré la probable erreur dans cet objectif de recruter Ripart.
Surtout, le club mise également sur une entente cordiale entre son coach, Laurent Battles, et son conseiller technique, Erick Mombaerts pour atteindre l’objectif. L’entraîneur n’appréciant pas particulièrement son ancien coach à Toulouse, au point d’avoir demandé à quitter le navire cet été, sans succès.
Composition possible :
Dans une Meinau qui ne sera pas pleine, ce qui peut s’expliquer par la conjonction des vacances, du pass sanitaire obligatoire, de l’affiche merdique et des merguez pas cuites, la lutte devrait donc être intense ou soporifique, mais au final, l’objectif final restera toujours les Troyes points.
